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NewZilla.NET Week-end #11 / 16 décembre 2017

 

Echos du Net, levées de fonds, petites phrases, tout ce qu’il ne fallait pas manquer (ou presque) cette semaine sur NewZilla.NET. Aujourd’hui au menu : BitGo, bitcoin, Apple, Airbnb, Jony Ive, Jean-Michel Blanquer.

 

42,5 MILLIONS DE DOLLARS / C’est le montant de la levée de fonds que vient de réaliser la start-up américaine BitGo qui propose des portefeuilles de crypto-monnaies pour sécuriser les transactions réalisées avec les monnaies virtuelles.

Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’entre l’engouement irrationnel autour du bitcoin et les multiples vols et/ou disparitions suspectes de monnaies virtuelles, le besoin de sécurisation des transactions se fait de plus en plus sentir.

APP STORE / Les éditeurs d’applications mobiles présents sur la boutique en ligne d’Apple auront bientôt la possibilité de proposer à leurs (futurs) utilisateurs de passer pré-commande du téléchargement d’une application (gratuite ou payante) et ce 3 mois avant sa sortie. Une fonctionnalité intéressante notamment en matière de communication évènementielle.

COME BACK / C’est celui de Jony Ive au poste de « designer en chef » chez Apple. Après s’être consacré pendant deux ans à la conception de l’Apple Campus 2, le nouveau siège social d’Apple constitué d’un unique disque circulaire, Jony Ive, à qui l’on doit notamment le design de l’iPod,, de l’iPhone, ou de l’iPad, est de retour.

Dans un communiqué Apple déclare : « Avec l’achèvement d’Apple Park, les chefs de projet et les équipes d’Apple reviennent de nouveau directement à Jony Ive, qui reste uniquement concentré sur le design ».

MAJORATION / La fête semble finie pour les utilisateurs d’Airbnb. L’Assemblée nationale a autorisé vendredi 8 décembre 2017, les communes à alourdir la taxe de séjour sur les hébergements « non classés », du type Airbnb. A compter du 1er janvier 2019, les collectivités pourront fixer le tarif dans une fourchette comprise entre 1% et 5% du coût hors taxe de la nuitée par personne.

EDUCATION / « Un monde de plus en plus technologique peut-être aussi un monde de plus en plus humain. Le professeur ne disparaîtra pas au profit des robots. Plus il y aura de technologies, plus il y aura besoin de professeurs. » (Jean-Michel BLANQUER, ministre de l’Education nationale / Fondation ResPublica).

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Les remords et les regrets d’un ancien dirigeant de Facebook

 

Chamath Palihapitiyia, ancien vice-président en charge de la croissance du réseau social, avait déclaré que Facebook sapait « les fondamentaux des relations entre les gens », avant de revenir sur ses déclarations… dans un post publié sur Facebook.

 

Faire acte de contrition, s’épancher en regrets éternels… c’est la grande mode chez les ex-(ir-)-responsables de la Silicon Valley qui, souvent fortune faite, se plaisent à revenir sur leurs rôles d’apprentis sorciers.

Début novembre, Sean Parker (co-fondateur de Napster et en son temps, avant d’être arrêté pour possession de cocaïne, éminence grise de Facebook), expliquait en public que Facebook exploitait les vulnérabilités psychologiques des internautes pour les pousser à publier toujours plus de contenus en échange de récompenses telles que des commentaires ou des « likes ».

Il y a quelque jours ce fut au tour de Chamath Palihapitiyia, ancien vice-président en charge de la croissance du réseau social, d’entrer dans la danse, en faisant part de son « immense culpabilité » et en déclarant notamment qu’il tenait ses enfants éloignés du réseau social et qu’il pensait « avoir créé des outils qui déchirent le tissu social ».

Chamath-Palihapitiyia-Facebook

Facebook a réagi à ses lamentations tardives en rappelant que Chamath Palihapitiyia avait quitté l’entreprise il y a plus de six ans et qu’à l’époque Facebook était une entreprise bien différente (on laissera l’internaute juge de la pertinence de cette déclaration).

Mais l’histoire ne s’arrête pas là, car devant le buzz provoqué par ses déclarations Chamath Palihapitiyia vient de se fendre d’un post… sur Facebook, en guise de mise au point et de mea culpa.

Selon lui, en tout cas à l’heure où il écrit ces lignes, « Facebook oeuvre pour le bien dans le monde entier ».

Et l’ancien dirigeant d’enchaîner sur les efforts déployés par le réseau social pour s’améliorer et lutter contre les fake news. Une catégorie dans laquelle son post n’est bien évidemment pas à ranger.

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