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Monthly Archives: février 2018

Google à Station F

 

Après Facebook, Amazon, Apple et Microsoft, Google débarque pour trois mois à Station F. Ouvert en juin 2017, « le plus grand incubateur de start-up au monde », situé dans le 13ème arrondissement de Paris héberge un millier de start-up et affiche déjà complet.

 

Il n’y a pas que les programmes « Founders » et « Fighters » dans la vie de Station F.

Ouvert à tous, le stand (de 150 mètres carrés) de Google est situé passage Louise, une ruelle publique où n’importe qui peut entrer à l’inverse des principaux bâtiments de Station F.

De quoi contenir une salle de formation pour 30 personnes et un coin « démonstration de produits ».

« C’est ouvert et gratuit, pas de candidature, pas de sélection, nous aiderons les entrepreneurs qui en ont besoin », explique François Bracq, responsable du programme de développement des start-up et des partenariats de Google, cité par Challenges.fr.

Au menu de ce programme Google à durée limitée : la volonté d’aider les start-up et les entreprises sur les trois services que sont Adwords, Analytics et le Cloud.

Trois services et trois programmes.

Un programme « start » pour les plus jeunes projets comprenant un crédit cloud allant jusqu’à 20.000 euros pour les entreprises de station F et des formations design.

Google-StationF

Un programme « growth » et un programme « skills » pour les plus avancé(e)s.

Les entrepreneurs intéressés peuvent s’inscrire sur le site pour des formations quotidiennes, des ateliers du vendredi ou des sessions individuelles.

Trois programmes et toris formations.

Une formation « construire sa marque et maîtriser son storytelling » le 20 février, « un atelier référencement naturel » sur Google le 23, un événement Adwords le 27 et le passage en revue des outils gratuits pour « tester, analyser et automatiser ».

« Il n’y a aucun critère de sélection, affirme Medhi Derkaoui, coach Google en charge des formations. Nous allons fonctionner avec une liste d’attente. »

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Une femme licenciée pour avoir dénigré son entreprise et ses collègues sur Facebook

 

Et avoir commis l’erreur de ne pas avoir verrouillé ou éteint son ordinateur en s’absentant de son bureau.

 

Si vous insultez vos collègues sur Facebook, ne comptez pas trop sur un vaste élan de solidarité autour de votre petite personne le jour où vous seriez licencié pour avoir dénigré votre entreprise sur le même Facebook.

Dans un arrêt du 2 février 2018, la cour d’appel de Toulouse a ainsi estimé que le fait de laisser à la vue de tous une page Facebook contenant des messages privés, en s’absentant de son bureau, faisait perdre à ladite page son caractère privé.

Et que le fait d’y retrouver des messages insultants et dénigrant son entreprise et ses collègues était, pour une employée, constitutif d’une faute grave.

En première instance, devant le conseil des prud’hommes la salariée concernée avait déjà perdu.

Elle avait interjeté appel.

facebook

Cette collaboratrice en CDI  avait tenu des propos dénigrants et injurieux sur la société qui l’employait, sa supérieure hiérarchique et ses collègues sur son compte Facebook pendant son arrêt de travail de six mois et à son retour.

Son employeur, les ayant découverts sur le poste de travail de l’employée, l’a convoquée à un entretien préalable, avec mise à pied, et l’a licenciée pour faute grave, rapporte LeFigaro.fr.

A sa charge la salariée ne niait pas avoir volontairement laissé sa session Facebook ouverte sur son poste de travail, rendant ainsi les conversations publiques et visibles par l’ensemble des salariés de l’entreprise.

Pour sa défense, l’auteur des messages faisait valoir leur caractère privé.

Un argument qui n’a été entendu ni par le conseil des prud’hommes, ni par la cour d’appel de Toulouse.

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