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Amazon supprime des centaines d’emplois

 

Selon l’agence Reuters et le Seattle Times, le groupe Internet s’apprêterait à licencier des centaines de personnes travaillant aujourd’hui notamment au siège social de Seattle quand, dans le même temps, il souhaiterait renforcer ses effectifs sur des projets comme Alexa, son assistant personnel.

 

La chose n’est pas vraiment nouvelle, pour qui s’intéresse à Amazon, mieux vaut en être actionnaires que salariés. Sur les dix dernières années le cours du titre Amazon, coté au Nasdaq, est passé de 73 dollars à 1375 dollars.

Certes Amazon (400 000 collaborateurs en tout) a créé 130 000 emplois sur la seule année 2017 mais le même temps, comme nous l’avons vu récemment, Amazon maîtrise au mieux les techniques d’incitations fiscales, et l’entreprise n’hésite pas à employer parfois des méthodes d’encadrement de ses collaborateurs qui flirtent allègrement avec la ligne rouge.

Ses méthodes de management sont contestées, et quand certains de ses entrepôts ne se mettent pas en grève, la grogne social est, elle, souvent latente.

Selon l’agence Reuters et le Seattle Times, le groupe Internet, qui s’est récemment mis en quête d’une ville où implanter un second siège social (ce qui devrait entraîner la création de 50 000 emplois supplémentaires), s’apprêterait à licencier des centaines de personnes travaillant aujourd’hui principalement (mais pas exclusivement) au siège social historique de Seattle.

Malgré tout, les personnels affectés pourront tout de même à l’une des 3 900 autres offres d’emplois qu’Amazon proposent actuellement sur Seattle, voire peut-être même venir étoffer les rangs d’activités comme Alexa, l’assistant personnel et vocale d’Amazon dont les perspectives de croissance sont aujourd’hui considérables.  

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Les smartphones du “Marseillais” Wiko passent sous pavillon chinois

 

Tinno, le partenaire technologique de Wiko prend le contrôle de l’intégralité du capital de la société phocéenne.

 

“Ce rapprochement s’inscrit dans une logique d’actionnariat et dans une logique industrielle”, c’est la raison invoquée par Laurent Dahan, désormais ex-président de Wiko, pour justifier l’absorption totale de son groupe par la Chinois Tinno.

En pratique, la marque Wiko devrait subsister, les activités design et marketing étaient opérées depuis la France.

Laurent Dahan, le fondateur de Wiko reste toutefois au comité exécutif en qualité de vice-président et se trouve remplacer à la tête de l’entreprise par le patron chinois de Tinno, James Lin.

Les récentes difficultés de Wiko ne sont pas étrangères à la volonté de Tinno (qui détenait jusqu’à présent 95% du capital) de faire évoluer la gouvernance de l’entreprise.

Wiko

Principal coupable: le Wiko Wim. Smartphone de la cuvée 2017 de Wiko, le Wim marquait l’incursion du constructeur dans un segment plus haut de gamme qu’à son habitude.

Un tentative qui s’est soldée par un échec commercial ou qui n’a en tout cas pas permis d’atteindre les objectifs espérés.

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