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Monthly Archives: août 2012

I Am CC, le mouvement qui veut convertir les utilisateurs d’Instagram à la licence libre

Pour l’instant ce n’est encore qu’une goutte d’eau dans l’océan de photos (5 millions de clichés par jour) diffusés via le service de partage de photos Instagram.

 

Le mouvement I am CC (que l’on peut traduire par le cri du cœur « Je suis Creative Commons ») appelle aujourd’hui les utilisateurs d’Instagram – qui vient de passer  sous pavillon Facebook – à renoncer à leur droit d’auteur sur leur production photographique et à choisir par défaut une licence libre Creative Commons.

Pour l’heure, seuls 2238 internautes ont répondu positivement à ce vibrant appel. Avec le droit d’auteur, le photographe doit donner son accord pour toute reproduction de son œuvre.

A contrario avec une licence libre de type Creative Commons c’est le principe de la libre diffusion et de la libre réutilisation (dans un cadre, souvent non-commercial, qui peut être défini par le créateur) qui s’applique par défaut.

« Si nous pouvions inciter une petite fraction des utilisateurs à utiliser une licence Creative Commons sur leurs photos, nous pourrions avoir un impact très important sur le mouvement de la culture libre« , explique le manifeste de I Am CC.

Mais attention toutefois, au-delà des belles intentions premières de partage universel, sachez que si vous optez pour une licence de type Creative Commons, ce choix est irrévocable, comprenez qu’il ne vous sera pas possible de revenir sur votre décision. Un comble pour une licence libre… Aujourd’hui sur Flickr, le service de photos en ligne de Yahoo! plus de 200 millions de clichés sont disponibles sous licence Creative Commons.

Les plans de l’Elysée volés sur une clé USB

Amateurisme quand tu nous tiens…Les plans de masse du palais de l’Elysée, qui abrite la présidence de la République, ceux du ministère de l’Intérieur et pour que la photo soit complète, de la préfecture de police de Paris, se promènent dans la nature.

 

Ces informations sensibles ont été dérobées avant hier dans le véhicule d’un entrepreneur d’une des sociétés chargées d’installer des réseaux de fibre optique dans plusieurs bâtiments officiels de la capitale, révèle Le Parisien.

Ces fichiers (non cryptés) se trouvaient sur une simple clé USB. Ces plans de masse sur lesquels est représenté l’emplacement de chaque pièce des bâtiments concernés sont donc potentiellement consultables non seulement par les voleurs mais aussi par n’importe quel quidam qui viendrait à se trouver en possession de cette clé USB.