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Monthly Archives: juillet 2015

Vers la suppression du Wi-Fi dans les espaces jeunesse des bibliothèques de la Ville de Paris

Le CHSCT de la Direction des Affaires culturelles de la Ville de Paris s’est prononcé pour un retour aux connexions filaires afin de prévenir les risques sanitaires liés à l’électro-hypersensibilités chez les plus jeunes.

 

La loi Abeille (du nom de la députée Laurence Abeille), ce texte adopté en février dernier au Parlement et qui vise à limiter l’exposition du public aux ondes électromagnétiques notamment dans des lieux comme les crèches et les écoles servira bientôt de base à la suppression du Wi-Fi dans les espaces jeunesse des bibliothèques de la Ville de Paris. Ainsi en a décidé le CHSCT (Comité d’Hygiène, de sécurité et des Conditions de Travail) de la Direction des Affaires culturelles de la Ville de Paris une instance présidée par le premier adjoint en charge de la Culture, Bruno Julliard.

Connexions filaires

Pour éclairer sa lanterne, le CHSCT a notamment  consulté outre la députée Laurence Abeille, Etienne Cendrier, porte-parole de l’association Robin des Toits. Les connexions Internet par Wi-Fi seront donc prochainement remplacées par de simples connexions filaires.

Dans son avis, adopté à l’unanimité le CHSCT relève que tant pour le personnel que pour les usagers doivent exister des lieux publics et des lieux de travail qui protègent les personnes électro-hyper sensibles et ne les excluent ni de la vie professionnelle, ni de la vie sociale”.

En Israël, Google Waze lance RideWith, un service de covoiturage gratuit

Les chauffeurs utilisant ce service ne pourront pas réaliser plus de deux courses par jour et ne seront dédommagés que pour l’essence ou les frais kilométriques.

 

RideWith-Waze-GoogleRideWith, l’application lancée cette semaine en Israël et basé sur Waze, le service de géolocalisation de Google est-elle un concurrent, ou représente-t-elle une menace pour les Uber et autres BlaBlaCar?

Si l’on s’en tient à la surface des choses, la réponse ne peut-être que positive. Mais à y regarder de plus près la chose est (beaucoup) moins évidente.  Car si, comme l’indique le quotidien israélien Haaretz, RideWith marque l’entrée de Google sur le marché du covoiturage, les conditions d’utilisation du service sont elles, clairement encadrées.

Pas question de concurrencer ici Uber (dans lequel Google Ventures, le fonds de capital-risque de Google a déjà investi 250 millions de dollars sur les 5,9 milliards levés par la startup créée par Travis Kalanick), ni même BlaBlaCar.

Uber peut dormir tranquille

Les chauffeurs qui utiliseront ce nouveau service seront limités à deux courses par jour, et encore faut-il noté qu’ils ne pourront être dédommagés que pour l’essence et les frais kilométriques.

Ici, l’idée serait plutôt de fluidifier la circulation en connectant chauffeurs et passagers qui souhaitent se rendre par exemple sur leur lieu de travail. Les passager devront s’inscrire en communiquant leur adresse et les horaires qui les intéressent. Chauffeurs et passagers pourront ainsi s’organiser à l’avance et pourront échanger via un système de messagerie.