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Bonne année Snapchat !!!

Les coordonnées (numéros de téléphone et identifiants) de 4,6 millions d’utilisateurs de ce service de partage de photos et de vidéos instantané, très prisé des ados, ont été mises en ligne.

 

SnapchatQuelle peut bien être la valorisation d’une start-up dont les coordonnées de 4,6 millions d’utilisateurs se retrouvent du jour au lendemain exposées sur le Web suite à une faille de sécurité? La question peut se poser dans le cas Snapchat.

Ce service très prisé des ados (adeptes du “selfie”) doit son succès au partage instantané de photos et de vidéos. Une application qui permet de visionner des contenus sur une durée limitée allant de une à dix secondes, avant qu’ils ne s’auto-détruisent et soient effacés des serveurs de Snapchat.

A la fin du mois d’octobre 2013, la valorisation (virtuelle) de Snapchat (350 millions de “snaps” étant échangés chaque jour dans le monde) était estimée à 3,6 milliards de dollars. Pas mal pour une start-up qui n’a pas encore trouvé le moyen de générer le moindre dollar de chiffre d’affaires, et qui a en à peine deux ans d’existence déjà refusé deux offres de rachat de la part de Facebook (respectivement de un et de trois milliards de dollars).

Mais aujourd’hui alors que les bases même de la confidentialité du service sont remises en cause, l’image de la start-up pourrait sérieusement en pâtir… Cette fois-ci, “grands seigneurs” les hackers du service ont décidé de jouer la carte de la mise en garde et de masquer les deux derniers chiffres des numéros de téléphone de utilisateurs visés. Mais ils ont averti qu’ils se réservaient la possibilité de publier à l’avenir des données non-censurées. Surtout si Snapchat continue à ne pas tenir compte de cet avertissement.

Gibson Security, la société australienne qui, il y a quelques jours, avait tenté d’alerter en vain Snapchat sur l’existence de failles de sécurité dans son service, a pour sa part mis en ligne un site qui permet aux utilisateurs de vérifier si leur compte figure (ou non) dans la base de données mise en ligne (le site Internet où ces données ont été divulguées n’est plus accessible). Selon Gibson Security la très grande majorité des utilisateurs touchés réside aux Etats-Unis.

Pas de Wi-Fi à l’école à cause des “risques de cancer”.

KAPITI (Nouvelle-Zélande) Damon Wyman et David Bird, deux parents d’élèves Néo-zélandais, viennent d’obtenir que l’école de leurs enfants retire toute connexion Internet Wi-Fi. Une technologie qui, selon eux, augmenterait les risques de cancer du cerveau.

 

Très marqué par le décès de son fils, mort d’une tumeur au cerveau, David Wyman, un Néo-zélandais résidant sur la petite île de Kapiti, a commencé à théoriser sur les liens supposés entre la propagation des ondes Wi-Fi, les risques de tumeur au cerveau et la mort de son fils, qui gardait toujours son iPod sous son oreiller pour dormir.

Avec son ami David Bird, il a décidé de lancer une pétition pour interdire l’utilisation de toute connexion Internet Wi-Fi à l’école locale. Une initiative (partiellement) couronnée de succès, puisque selon le site TVNZ, l’établissement scolaire concerné vient d’annoncer qu’il allait retirer dans les plus petites classes la connexion internet Wi-Fi pour la remplacer par une connexion par câble plus traditionnelle. Les plus grands pourront continuer à utiliser le Wi-Fi en classe.

L’école a semble-t-il cédé à la pression exercée par les parents d’élèves. Cependant, dans un communiqué elle insiste, se référant en cela aux positions officielles des ministères de l’Education et de a Santé Néo-zélandais, sur le fait qu’il n’y a aujourd’hui aucun risque sanitaire avéré lié à l’utilisation du Wi-Fi.