A Singapour, cette cité-Etat où l’on pouvait déjà commander une pizza à Pepper le robot (cf NewZilla.NET du 27 mai 2016), il est maintenant possible d’acheter des livres directement dans un distributeur automatique, un appareil d’habitude plutôt utilisé pour acheter des boissons gazeuses, des barres en chocolat, des produits de consommation courante (ou en France, des baguettes de pain).

L’initiative que l’on doit à BooksActually, une enseigne de librairies indépendantes locales, vise avant tout à redonner goût à la lecture et à assurer la promotion des auteurs du cru.

Chaque distributeur (deux sont déjà installés*, un troisième devrait suivre rapidement) présente 150 ouvrages. Pour l’instant, les cartes bancaires ne sont pas acceptées. Seule possibilité, le règlement en liquide.

• Au Musée National de Singapour, et non loin de l’Office du Tourisme.

Quand vous faites vos courses au supermarché près de chez vous, deux solutions s’offrent généralement à vous: soit vous repartez directement avec, soit (pour éviter de tout porter) vous confiez ce que vous venez d’acheter au supermarché qui se charge alors de vous livrer, moyennant finance, vos courses à domicile.

7 à 10 dollars par livraison

Aux Etats-Unis, d’ici quelques jours, les clients du groupe de distribution Walmart (équivalent américain de groupes comme Auchan ou Carrefour), pourront faire leur courses en ligne, en confier la livraison à Walmart (indique le groupe sur son blog officiel), qui lui-même confiera alors cette délicate mission à des chauffeurs VTC Uber (Deliv, ou Lyft, le concurrent local d’Uber), moyennant un surcoût de 7 à 10 dollars par livraison.

Cette expérimentation vise à contrer la montée en puissance d’un service comme Amazon Fresh, lancé en… 2007 par Amazon. Elle devrait débuter dans les deux prochaines semaines et concerner dans un premier temps les villes de Denver (Colorado) et Phoenix (Arizona).