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Monthly Archives: février 2018

Après WhatsApp Business de Facebook, Apple s’apprête à lancer Business Chat

 

Les applications de messagerie instantanée mettent le cap sur le monde de l’entreprise.

 

Permettre aux entreprises de communiquer plus facilement avec leurs clients depuis iMessage, tel est l’objectif affiché de Business Chat.

Cette nouvelle fonctionnalité sera lancée au printemps prochain par Apple.

Au menu notamment, des prises de rendez-vous professionnel(le)s, mais aussi la possibilité d’acheter directement un produit en ligne via Apple Pay, le système de paiement sur mobile d’Apple.

En terme de relation client, il semble bien qu’Apple se rapproche (avec peut-être à terme la création d’univers gérés par les marques elles-mêmes) de ce qui se fait déjà sur WeChat, l’une des applications les plus utilisées en Chine. 

WeChat fait actuellement ses premiers pas en Europe, notamment en Italie avec le lancement de WeChat Pay, un système de paiement destiné à simplifier la vie des touristes chinois qui visitent le pays.

business-chat-apple

Quant à WhatsApp (propriété de Facebook), l’une des applications de messagerie instantanée les plus utilisées au monde, elle a récemment lancé, dans un premier temps sur Android et dans quelques pays seulement (Indonésie, Mexique, Italie, Royaume-Uni, États-Unis), WhatsApp Business, une version ciblant notamment les PME qui souhaitent communiquer en direct avec leurs clients.

En pratique, cette nouvelle version, et cette nouvelle évolution de WhatsApp permet aux entreprises de créer leur propre profil professionnel, indique WhatsApp sur son blog.

Des profils sur lesquels elles peuvent mentionner des informations utiles telles que l’adresse d’un site web, ou d’une présence sur les réseaux sociaux (à commencer bien évidemment par Facebook).

A terme, les entreprises pourraient également disposer de comptes vérifiés, comme ce fut le cas sur Twitter avant que le réseau social, incapable de réagir face à certaines dérives, n’abandonne cette fonctionnalité.

Par ailleurs, les entreprises pourront accéder aux statistiques de leur compte et y laisser, le cas échéant un message d’absence ou encore des réponses préenregistrées.

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Bitcoin, la chute (sans fin?)

 

Comme prévu (et comme annoncé ici-même à de multiples reprises) la plus célèbre des crypto-monnaies, qui ne repose sur rien, si ce n’est sur la croyance en une illusion, poursuit son inexorable chute.

 

Après avoir flirté avec les 20 000 dollars en décembre 2017, le cours du bitcoin est descendu sous les 6 400 dollars mardi 6 février 2017 (contre 8 550 dollars) la veille.

Une pensée pour les (petits) épargnants (et pour ces salariés japonais) qui attirés par la promesse d’un argent facile et éblouis par les sirènes médiatiques, sont en train d’y laisser leurs économies.

Nous vous l’avions annoncé à maintes reprises, le cours du bitcoin, comme ceux de toutes les crypto-monnaies ne reposant sur rien si ce n’est sur du sable, était sujet à une très forte volatilité.

A ceux qui s’émeuvent aujourd’hui de la baisse, certes spectaculaire, de Wall Street (hier soir), que devraient-ils penser de celle du bitcoin, qui s’échangeait hier encore à 8 550 dollars pour chuter aujourd’hui sous la barre des 6 400 dollars?

bitcoin

Plusieurs éléments peuvent cependant expliquer de manière rationnelle (une fois n’est pas coutume) cette chute spectaculaire de la valeur du bitcoin.

Et éviter à l’avenir quelques sueurs froides à ceux qui suivent le cours du bitcoin en temps réel.

Tout d’abord, l’attitude de certains Etats, à commencer par la Chine, de plus en plus enclins à réguler, et à contrôler ces activités, en bloquant notamment l’accès aux plateformes d’échanges.

Au Royaume-Uni, à l’instar de plusieurs banques américaines, le Lloyds Banking Group a récemment annoncé l’interdiction d’achats de bitcoin par ses clients munis de carte de crédit.

Ensuite, un fait marquant, quoique hautement prévisible, a également frappé les esprits, le piratage le 26 janvier 2018, de Coincheck, une plateforme d’échanges japonaise, qui se serait fait voler 530 millions de dollars en devise virtuelle NEM.

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